Brrr ... c'est lugubre !

.. Jeudi soir, fin de la journée seize heures trente ... Voila à présent tous les lycéens qui ont déjà remballer leurs affaire et sortait de leur lieux d'étude avec des rires, des cries et même des pleurent !

" Hmmf ... Comment le retrouver dnas toute sa ?... "

Elle rebaissa son bras et lâcha un soupir, regardant devant elle. La jeune fille était vétus d'un baggy vert kaki, avec d'épais files qui retombés sur les côtés. Sur son torse, un T-shirt moulant aux manches découpées noir. A ses pieds, de larges baskets noires et blanches aux lacets à moitiés défaits. La chasseuse de prime arriva enfin dans la cour qu'elle traversa d'un pas rapide ayant une idée derrière la tête ...

* Hmm il ne devrait pas être loin ... *

Elle jeta un coup d'oeil rapide a la photos qu'elle avait en main, c'était la personne rechercher et d'aprés les renseignemant qu'elle avait tiré il était professeur de Math dans ce lycée ... La jeune fille arriva devant les grilles et regarda autour d'elle si quelqu'un était dans les parages. A première vue, personne, alors c'est d'un élan qu'elle s'agrippa aux grilles du bâtiment et escalada rapidement. Elle sauta de l'autre côté et la voici dans la ville. Respirant un grand coup, sourire aux lèvres :

* Bon ... *

Et l'adolescente se mit en marche, à la recherche de l'individut. Une demi-heure s'écoula quadn elle le repéra ! Il marcher d'un pas rapide comme si il était en retard ! Ichigo le suivit diiscrétement et la voila arriver devant ... un cimetière?! Intriguée, Ichigo s'arrêta et regarda les arbres qui dépassaient de cet endroit. Il était à présent dix-sept heures quinze. Remontant son épaulière de son sac à dos noir sur son épaule.

" Oyoy... "

Elle repris alors sa marche jusqu'à l'entré du cimetière. Là, elle poussa la grande grille et entra dans la cour du cimetière ou des pierres tombales de toutes sortes se dresser sur son chemin. Des statues assez bizarres limite flipantes se dresser devant elle et, passant devant elles la jeune voleuse tira une grimace :

" Ouarf, ça craint ici ... "