L'amphithéatre, laisser échapper votre imagination

[hrp] Ce lieu étant passé en rp de Lieu, tous les élèves souhaitant rp dans cet endroit devront obligatoirement poster uniquement à la suite de celui-ci. Vous pouvez bien sur pofiner la description et y ajouter de la vie. [/hrp]

C'est un endroit immense éclairé par une grande baie qui peut s'obstruer facilement par de grand rideau noir de velours. La pièce peu s'éclairé par un système de gouttière faisant tout le tour de la salle, prenant naissance tout à l'entrée de la porte en haut des gradins. Il suffit d'y faire tomber une allumette pour faire s'embraser la pois et ainsi baigner toute la pièce d'une lumière chaude.
Tout en bas, une estrade de bois de bonne taille peut laisser lieu à des spectacles ou des discours.

Le jour s’était levé depuis un moment déjà. Il devait être dans le milieu de matinée. Seule dans sa chambre en bordel, plongée dans l’obscurité, Dana tentait de sommeiller en paix. En effet son esprit tracassé rendait son sommeil agité et peu reposant. Les mêmes rêves revenaient sans cesse. Le plus souvent leur thème était soit la mort soit Areigan. Si cela continuait comme ça, la jeune fille finirait comme un zombie, épuisée par cette fatigue qui s’accumulait petit à petit. La chambre était silencieuse, mis à part le son de la respiration de la jeune fille. Respiration qui s’accentuait de plus en plus au fur et à mesure que les images défilaient dans sa tête. Enfin, elle se redressa brusquement, les yeux grands ouverts, presque apeurés, la respiration saccadée, ses cheveux lui collant au corps, tellement elle était recouverte de sueur. La vampire mis quelques secondes avant de se rallonger et de se calmer totalement. Elle essaya de fermer les yeux et de se rendormir, mais après s’être tourné encore et encore dans son lit sans trouver le sommeil, elle finit par capituler et se lever. Elle avait besoin d’aller se calmer ailleurs, elle ne réussirait à rien ici. Les nerfs à vifs, elle s’habilla d’une robe légère, et partit, pieds nus, errer dans les couloirs de l’académie.

Elle ne pouvait songer à sortir. Le soleil se ferait un malin plaisir de venir la cueillir dès qu’elle poserait ne serait ce qu’un seul pas à l’extérieur. Soit, elle resterait au sein de l’école. La première chose qu’elle entreprit de faire fut d’aller à la douche. Il n’était pas très agréable de sentir la sueur. Et puis ça lui ferait du bien, la sortant de son état amorphe dans lequel elle se trouvait.

La douche froide fut de rigueur. Elle en ressortit quelque peu revigorée. Les cheveux encore trempés, elle continua alors de errer dans l’école. Les quelques Day qui traînaient encore dans les couloirs la regardaient bizarrement. Peut être était ce dû à ses pieds nus. Dana ne put s’empêcher d’avoir de l’amertume pour eux. Et dire qu’une bonne majorité était des humains… Elle aurait préférée pouvoir goûter à leur sang ! Mais sur ce point le règlement était des plus stricte ! Aucun acte vampirique ne devait être
commis dans l’école…

Afin d’occuper sa « nuit » comme elle put, elle décida alors d’aller explorer les parties de l’école qu’elle ne connaissaient pas encore. C’est ainsi qu’elle arriva devant la porte d’entrée de l’amphithéâtre, qui lui était jusqu’à ce jour, inconnu. D’un tempérament curieux, et poussée par l’ennuie, elle décida d’entrer. La beauté de l’endroit surpris Dana. De une, l’amphithéâtre était géant. De deux il respirait la luxuriance. Ceci allait de ses sièges de velours rouges, à l’immense estrade qui trônait au centre de la pièce. Dana entreprit de s’y rendre. La première impression qu’elle eut, fut celle d’être minuscule au milieu de tout cela. Elle laissa planer son regard aux alentours avant qu’elle ne s’installe sur la scène en tailleur.

*Bon ben puisque je suis là, autant occuper mon temps…*

Elle ferma les yeux et se concentra. Les quelques objets qui se trouvaient autour d’elle, se mirent à léviter au dessus de sol. Puis ils se rapprochèrent d’elle, l’entourant de toute part. Elle se concentra encore, les objets commençant à tournoyer autour d’elle, quand tout d’un coup tout se stoppa, et les objets retombèrent dans un grand fracas. La vampire soupira. Tant qu’elle ne serait pas reposée, elle ne pourrait manier son don télékinésique à volonté.

Elle se leva alors, et se dirigea vers les sièges qui se trouvaient au premier rang. Elle se laissa tomber dans le premier qui vint. Se mettant sur le côté, elle passa ses jambes par-dessus l’accoudoir pour les poser sur le siège d’à côté, action qui releva quelque peu sa robe, la faisant arrivé au un quart des cuisses. Elle posa alors sa tête contre le fauteuil en fermant les yeux, espérant pouvoir trouver le sommeil en ce lieu.

Elle entendit la porte de l’amphithéâtre s’ouvrir. Sans doute quelqu’un qui s’était perdu… Il ferait sans doute demi-tour lorsqu’il verrait que c’était une erreur. Aussi Dana ne prit-elle pas la peine d’ouvrir les yeux.

Après une semaine d'absence, Areigan s'était décidé à revenir à l'académie. Du moins depuis l'épisode de l'Arène, cela faisait bien deux jours qu'il était revenu mais il n'avait pas pointé le bout de son nez hors de sa chambre préférant demeurer en compagnie de Niamh qui lui jouait un meilleur air que les élèves au dehors.

Niamh était le nom de sa mère. Nom dont il avait baptisé sa guitare. Un peu puérile et enfantin mais bon quand on est seul et désespéré, on fait pas toujours des choses très intelligente et mature.

Sa nuit fut plus particulièrement agité que les autres ses songes démarrant rêve, avec le doux visage de Dana puis finissant cauchemars, par sa mort. (à croire que leur esprit devait être lié cette nuit là)
Mais quand il se réveilla pour la quatrième fois, le rayon de soleil filtrant à travers le volet venant éclairer ses yeux lui indiqua qu'il était l'heure de se
lever. Assez lambiné comme ça ! Faisant la grimace en plissant et fermant un œil incommodé par la lumière, il roula sur le côté mais n'eut pas le temps de remarquer qu'il était proche du bord et "Pouf !"... Tombera pas plus bas, se dit-il en se frottant le flanc.

Se relevant, le vampire se dit qu'un peu de lumière et de ventilation ne ferait pas de mal à cette pièce. Mais quand il se prit toute la luminosité du dehors en pleine face, il remercia il ne savait trop qui d'être diurne. En cas contraire il ne serait plus de se monde !

Après s'être habillé sommairement d'un pantacourt noir en toile fine d'un t-shirt blanc et de sa veste verte, il se dirigea vers la douche sous les regards ahuri des Days se trouvant dans les parages. Sans doute à cause de ses cheveux ni frisé ni lisse et en pétard, de son pas réveillé ou de son manque de chaussures. Il ne savait pas il n'en avait qu’ure. Pour le manque de grole, il ne les avait pas trouvé et avait eu la flemme de chercher dans le borzale et un petit retour à la nature ne ferait pas de mal !

Une fois passé à la douche froide intégrale - sous laquelle le seul mec qui l'y avait rencontré s'était demandé comment il avait fait pour rester vingt minutes dessous - il ressemblait plus à quelque chose.
Par pure flemme de retourner à sa chambre pour se lisser les cheveux, il les laissa sécher tout seul car il n'avait aucune envie de ressembler à un mouton mal coiffé en se risquant à utiliser un des sèches cheveux.

Ne sachant trop où aller, il décida de prendre n'importe quel couloir au point qu'il finit par s'en pommé comme une andouille qu'il était !
Il prit alors la première porte qui lui tomba sous la main et pénétra dans un amphithéâtre.

Gobant les mouches, Areigan se retrouva comme deux rond de flanc devant tout ça tellement il était ridiculement petit devant tout ça.
Mais bon il se reprit en se disant que ça manquant cruellement de lumière ici. Une odeur de pois monta alors à ses narines et il comprit à quoi servait la gouttière.
Sortant son briquet de sa poche, il l'alluma et souffla sur la flamme qui embrasa le liquide et illumina la pièce d'une douce lumière feutré ce qui la rendit encore plus imposante. Lâchant un :

"Waaouu !"

il descendit les marches en s'émerveillant comme un gosse. Arrivé au niveau de l'estrade, il découvrit une Dana endormit dans les sièges. Affichant un sourire, le garçon s'approcha de la jeune fille à pas de loup. Puis sans un bruit il se pencha au dessus d'elle et tel le prince charmant au chevet de la Belle au bois dormant, il l'embrassa doucement.

"Tu sais que je n'ai pas cessé de penser à toi ? Et honnêtement je préfère encore te voir en vrai qu'en rêve, tu es bien plus belle."

Il demeura dans la même position et attendit que la belle se réveille se préparant mentalement et physiquement à subir ses foudres.

Les portes de l’amphithéâtre s’étaient refermées derrière cette personne qui dérangeait Dana dans son sommeil. Elle pensait enfin être tranquille, lorsque tout d’un coup, toutes les lumières s’allumèrent d’un coup. Les paupières déjà clauses de la vampire, se fermèrent encore plus devant l’agressivité de la lumière. Elle se recroquevilla un peu plus dans son siège, se laissant couler dans le sommeil qui commençait à la prendre. Elle se retrouva alors déconnecté du réel.
Ce fut un contact sur ses lèvres qui la ramena à la réalité. Sa main se leva, dans un réflexe défensif, prête à frapper. Mais son geste resta en suspend. Elle connaissait ce contact doux et agréable. Elle l’avait imaginé tout le long de ses journées, espérant qu’il arrive. Le son de la voix qui lui parvint également aux oreilles lui était familier.
Elle ouvrit alors les yeux, difficilement, pour voir apparaître ce visage qu’elle avait rêvé durant plusieurs jours, penché au dessus d’elle. Elle garda un visage sans expression, son regard planté dans les yeux jaunes de l’homme.

« Es tu bien sûr de ce que tu dis ? Ton absence sans même me laisser un mot me ferait croire le contraire… »

Elle posa alors sa main, encore levé dans son réflexe, sur la joue d’Areigan dans un geste doux.

« Je crois que j’aurais dû laisser ma main partir s’écraser sur ta joue, tu aurais ainsi compris ce que je pense de ton escapade ! »

Elle était impitoyable avec lui. Mais elle ne pouvait s’empêcher de lui en vouloir d’être partit comme ça, lui laissant pour seule compagnie ses cauchemars et ses incertitudes. Elle n’avait toujours pas eu de réaction de l’homme. Elle avait respectée jusqu’à ce jour la volonté d’Areigan, lui laissant le temps de réfléchir et de tout mettre au clair. Elle avait prit sur elle, énormément, pour ne pas partir à sa recherche. Mais elle connaissait aussi Areigan. Le coller sans le laisser respirer aurait tout fait capoter.

« Sais tu que je m’étais fait du souci ?! Je ne l’oublierai pas de si tôt ! »

Elle se redressa alors dans son fauteuil, avant de céder à une envie qu’elle avait depuis longtemps. Elle attira l’homme un peu plus à elle, sa main qui était sur sa joue, passant derrière sa nuque, afin de répondre au baiser qu’il lui avait précédemment donné. Elle sentit tout de suite mieux. Elle aurait voulu que ce moment se prolonge, mais elle se détourna finalement de lui, s’appuyant à nouveau sur le siège. Elle le lâcha également, ramenant ses bras sur le fauteuil. Elle avait encore un peu de mal à assimiler ce changement soudain, ou du moins à sa connaissance, de sentiments envers lui. Et puis il en allait aussi de sa fierté. Elle ne voulait pas lui montrer comment son absence l’avait affectée, ni à quel point ses nuits étaient devenues agitées depuis ce fameux jour où tout était devenu clair dans sa chambre.
L’air de rien, elle revint à la conversation :

« As-tu pu enfin régler ton problème avec le feu, qui m’avait valu une si belle brûlure ? »

En effet, durant plusieurs jours, elle avait gardée la marque cuisante, causé par le corps alors brûlant de l’homme, contre sa peau.

[Désolé c'est court >.<]

Quand il l'embrassa, la jeune fille la jeune leva une main dans sa direction.
Areigan s'y attendait mais ne se déroba pas. Cette baffe il la méritait il ne le savait que trop. Le garçon se contenta donc de se préparer physiquement et mentalement à l'impact.
Mais à sa grande surprise, elle s'arrêta dans son geste. La Dana aurait-elle perdu de son répondant ? Sa main peu être, pour se qui était du regard noir qu'elle planta dans le siens ce n'était pas la cas.

« Es tu bien sûr de ce que tu dis ? Ton absence sans même me laisser un mot me ferait croire le contraire… »

A cette phrase le jeune homme détourna le regard.

"Il est vari que pour ça je n'ai aucune excuse..." avoua-t-il

Il était vrai qu'il aurait put donner des nouvelles, hélas il n'avait pas de pigeons voyageur dans sa poche et quant à trouvé un coursier assez fou pour aller remettre une lettre à une personne habitant l'académie il ne fallait pas trop rêver pour en trouver un.

La main de la vampire acheva quand même sa course jusqu'à sa joue mais s'y posa en douceur.

« Je crois que
j’aurais dû laisser ma main partir s’écraser sur ta joue, tu aurais
ainsi compris ce que je pense de ton escapade ! »

Le garçon leva légèrement les yeux au plafond, observant un cour instant la myriade de boules chandelles qui s'était allumées à la suite de la gouttière, puis revint à Dana.

"Tu as sans doute raison pour la gifle, mais pour ce qu'il y est de l'escapade je suis profondément désolé mais je ne pouvait pas faire autrement."

Et d'ailleurs c'était vrai. Il avait été tellement pressé et pris de cour par ce qu'il c'était passé qu'il n'aurait pas eu le temps de s'expliquer. S'il l'avait fait ils seraient sans doute mort à l'heure qu'il était.

Quand elle lui balança qu'elle c'était fait du soucis, le garçon fut un peu gêné. Mais il devait bien se douter du sang d'encre qu'elle c'était faite, il l'avait vu sur son visage quand il l'avait revu à l'Arène.
Et pour ça il lui faisait confiance qu'elle allait le lui faire regretter pendant des siècles !

Dana sembla enfin céder à des désirs qu'elle avait depuis un bout de temps. L'attirant vers elle, elle répondit à son baiser glissant sa main dans son cou. Se soudain contact qu'il avait désiré depuis tant de temps le fit frissonner.

Bien qu'il en eu envie, cela ne dura pas longtemps. La jeune fille se laissa complètement tomber contre le siège. Areigan décida de ne pas le remarquer mais il savait qu'il l'avait fait souffrir en partant sans rien dire.
Il le savait "l'emprise" qu'il avait sur elle depuis son retour de l'Irlande rien que de voir sa réaction quand il avait prononcé le simple nom d'une autre femme. Et il s'en voulait pour ça.

« As-tu pu enfin régler ton problème avec le feu, qui m’avait valu une si belle brûlure ? »

Cette question le tira de sa rêverie et lui tira une légère moue comme s'il avait oublié ce passage là et surtout de remettre en état sa chambre.

"Ah ce propos oui. J'ai trouvé des réponses. Et des solutions..."

A ses mots, il tendit la main vers la gouttière et une flamme en sortit venant se placer dans sa main. Il tenta ensuite de la transformé en oiseau mais l'opération fut un échec et il y eu comme un retour de flamme qu'il éteignit vivement en abatant sa main sur sa manche. Affichant un léger sourire gêné il ajouta :

"Enfin c'est pour ça que je suis partit je le maitrisait pas du tout et d'ailleurs je ne savait pas que je le possèdait..."

Mais il se tut, ça n'était pas le plus important. Il fallait qu'il le dise, elle avait trop attendu, trop souffert.

"Mais là n'est pas la question. Le plus important, c'est que j'ai trouvé la réponse... En trois mots.... Hem d'abord je suis désolé de t'avoir fait souffrir et tu peux me giffler autant de fois que tu veux pour ça, mais je voualsi te dire..."

Areigan se tapa le front du plat de la main. Jamais il n'avait cru que ce serait aussi difficile d'annoncer une chose si sincère. Etant donné qu'il n'avait jamais eu à le dire aux autres.

Il balança un moceau d'insulte dans sa langue maternnelle avant de réussir à le sortir.

"Cac* ! Je t'aime !"

Puis il se laissa tomber sur le siège à côté de Dana avec une mine de détéré honteux qu'il il ne l'avait jamais été.

"Tá sé déanta agam**..." lacha-t-il d'une voix sombre comme s'il avait annoncé quelque chose de dramatique.

*Merde !
** Je l'ai fait...

Face à la colère l’homme détourna le regard.

« Il est vrai que pour ça je n’ai aucune excuse… »

Heureusement qu’il l’avouait, car planter la jeune fille comme ça, sans réponse n’était pas ce qu’il avait fait de plus intelligent. Il lui avait manqué. Ses jours à l’académie étaient devenus si fades et si ennuyeux. En prenant du recul à présent, elle se rendait compte à quel point même à l’époque, elle avait besoin de lui pour rythmé ses journées et pour garder le moral.
Son regard se fit plus dur devant son manque d’excuse. Elle ne pouvait pas s’empêcher de lui garder rancune.

Il approuva l’envie qu’avait la jeune femme de le gifler En revanche, il n’était pas d’accord pour l’escapade. Avis partagé. Il n’était peut être pas obligé de rester autant de temps en ermite. Mais quoiqu’il en soit, c’était maintenant passé, des choses plus importantes étaient en jeux. Elle le sentait bien, la discussion n’était pas si détendue qu’elle n’y paraissait. Le vrai fond des choses allait bientôt faire surface. Le tout était maintenant de savoir ce qu’allait dire le garçon. A ses premières réactions, elle semblait lui avoir manqué, mais elle ne voulait pas y croire à cent pour cent tant qu’il ne prononcerait pas cette phrase qui changerait tout… Ces quelques mots qu’elle n’avait jamais prononcé
pour les lui, malgré qu’elle les pensaient, et qu’elle ne lui avait jamais entendu dire…

Elle sentit les frissons de l’homme lorsqu’elle posa ses lèvres contre les siennes.
Au moins ses baisers ne le laissaient pas indifférent ! Cela eut également le don de donner encore plus envie à la vampire de prolonger l’étreinte. Mais sa raison reprit le dessus. Elle n’allait pas lui « sauter dessus » dès son retour tout de même. Elle n’était pas de ce genre, et ne comptait pas lui montrer comment elle pouvait se trouver désarçonnée et mise à nue lorsqu’elle se trouvait en sa présence. Faiblesse qu’elle ne voulait pas le laisser exploiter. Elle le savait intelligent, il fallait qu’elle surveille ses actes qui étaient parfois le fruit de son impulsivité.

Puis la jeune fille en revint à un sujet qui était plus sérieux, qui était son nouveau pouvoir. Cette question arracha une moue à l’homme, avant qu’il ne lui réponde. Il lui fit alors une petite démonstration de son pouvoir, attirant du feu dans la pomme de sa main. Quand il voulu manipuler la flamme son action échoua, il dû éteindre le feu qui avait fait un retour vers lui. Dana ne se moqua pas. Elle comprenait tout à fait, tout le monde passait par là pour apprendre à maîtriser son pouvoir. Elle n’avait pas encore totalement le contrôle de ses pouvoirs, surtout en ce qui concernait la possession, qui lui posait pas mal de problème, surtout question gestion d’énergie !

Dana aurait pu répondre à l’homme, mais l’atmosphère devenait de plus en plus
tendue. C’était pour bientôt… Et ce fut le cas !

« Mais là n’est pas la question. Le plus important, c’est que j’ai trouvé la réponse…
En trois mots… Hem d’abord je suis désolé de t’avoir fait souffrir et tu peux me gifler autant que tu veux pour ça, mais je voulais te dire… »

Plus la phrase d’Areigan continuait, et plus un nœud dans le ventre de Dana se formait. Elle l’entendait sans vraiment l’entendre, trop tendue pour prendre la peine de respirer. L’embarras du vampire était palpable. Il en était de même pour la jeune fille. Il était vrai que la situation était assez étrange, quand on savait les liens qu’ils entretenaient auparavant, et surtout le caractère des deux jeunes gens !

Les mots furent durs à sortir mais enfin, après un mot dont Dana ne comprit pas le
sens, n’étant pas dans une langue qu’elle comprenait, elle les entendit. Les seuls qui montèrent vraiment à son cerveau ! Enfin, ils mirent du temps, et encore plus à s’imprimer et à ce qu’elle le réalise. Mais le bruit que fit Areigan en se laissant tomber dans le fauteuil le plus proche la fit redescendre sur terre. En tournant son visage vers celui de l’homme, elle vit bien que ses paroles lui avaient coûté beaucoup. Le manque d’habitude ! Cela Dana n’eut pas de mal à le déduire. Puis il prononça à nouveau des mots qu’elle ne comprit pas, d’une voix sombre. La jeune fille était bien curieuse de savoir ce qu’il avait dit.
Mais pour le moment d’autres sentiments se bousculaient en elle. Ainsi son amour n’était pas à sens unique. Comme c’était ironique de voir comme ils avaient ainsi pu changer, et que leur caractère se retrouve ainsi prisonniers de tels sentiments !

Un silence gêné s’installa, pendant lequel Dana se faisait violence. Il l’avait fait, il avait dit ces mots, elle se devait d’avoir le courage de faire de même. 1, 2, 2 et demi... 2 trois quart… aller, il fallait bien se lancer ! Elle se tourna alors le fauteuil où il était assis avant de dire de la voix qu’elle voulait le plus assurée possible :

« … Je t’aime également ! »

Elle l’avait fait elle aussi ! Comme il était dur de le dire… Et surtout comme elle se trouvait bête ainsi devant lui. Elle n’aimait être gêné ainsi. Depuis quand quelqu’un l’intimidait ainsi ? Depuis quand elle se retrouvait nulle comme ça, à ne plus savoir quoi faire ?!

*Et puis merde, tu es nulle ma fille ! >.< *

Elle se leva alors d’un bond de son siège. Il fallait qu’elle bouge, il fallait qu’elle comble ce vide ! Elle se planta alors devant lui, avant de s’installer sans gêne à califourchon sur ses genoux face à lui. Son regard gêné mais tout de même doux, se posa dans celui d’Areigan quand elle dit :

« Je suis contente de l’apprendre…Pour ce qui est des gifles, tu ne les aura pas, MAIS !... il faudra te faire pardonner ! »

Elle sourit malicieusement. A lui de savoir se faire pardonner, elle lui laissait libre court à son imagination.
Mais elle ne fit aucun commentaire sur le fait qu’il l’avait fait souffrir. Plutôt se faire crucifier que de l’avouer, et conforter ainsi l’homme dans ses paroles.
Combattant son embarras tout nouveau pour cette situation, elle se pencha à nouveau vers lui, pour l’embrasser, mais cette fois plus longuement, plus tendrement, passant sa main dans les cheveux de l’homme, savourant cette sensation qu’elle n’avait jamais oublié depuis tout le temps qu’elle ne l’avait pas revu.

Lorsque Areigan arriva enfin à sortir ses fichus mots, il put voir, avant qu'il ne effondre sur le siège, qu'ils avaient été plus déroutant aux oreilles de Dana qu'il ne l'avait été pour lui à les sortir.
A en jugé par la tête qu'elle faisait ça devait chauffer dans la cafetière. La haut tout se bousculait. Si sa tête c'était agis d'une théière ça ferait qu'elle serait partit sur orbite tellement elle sifflait.
Puis quand il s'était laissé tomber sur le fauteuil un silence de mort c'était installé. Silence durant lequel il aurait put l'entendre compter ?

Puis d'une voix qu'elle voulait se donner assuré, la jeune fille se tourna vers son siège et sortit enfin :

« … Je t’aime également ! »

Au c'est mots une nouvelle fois sortit, le jeune homme s'enfonça dans le velours. Affichant une mine sombre comme si on lui avait annoncé que quelqu'un était mort, il se cachait derrière ses boucles et demeura interdit. La gêne et la tension était tellement palpable qu'à eux deux ils seraient bien capable de les matérialiser !
Enfin entendre se mots faisait le même effet que les sortir. Mais à cet instant il était partagé entre prendre une pelle et partir se creuser un trou profond et s'y jeter avant de reboucher derrière et mourir de rire.
Pour ceux qui connaissait le genre de relation qu'ils entretenaient auparavant cette situation était vraiment risible. Même lui il n'y aurait jamais pensé la première fois qu'il s'était rencontré surtout en repensant au genre de petits jeux pervers auquel ils s'adonnaient.

Se levant d'un bond, la vampire se planta devant lui puis s'installa à califourchon sur ses genoux.

« Je suis contente de l’apprendre…Pour ce qui est des gifles, tu ne les aura pas, MAIS !... il faudra te faire pardonner ! »

Souriant avec malice, elle posa un regard doux dans le siens et se pencha vers lui. Passant ses doigts dans ses boucles de neige elle l'embrassa de nouveau
prolongeant plus longtemps le baiser.
Areigan sentit son corps se crisper légèrement sous le contact de la jeune fille. Il n'avait aucune envie de répéter les mêmes histoires qu'avec les autres filles. Ça il en était hors de question ! Alors quitte à choisir entre écouter son corps qui lui hurlait de la repousser et ses pulsions qui lui dictaient le contraire, le choix était vite fait !

Passant ses mains autour de sa taille, il l'attira vers lui pour le serrer contre son torse et prolongea le baisé. Il avait tellement attendu ce moment qu'il ne pouvait plus y résister.
Une étrange chaleur s'empara de nouveau de son corps sans qu'il sache d'où elle venait comme cette nuit où il avait dut partir.

Dans les gouttières, le feu s'animait comme si les sentiments du garçon influaient dessus. Le sang des sorciers semblait être assez imprévisible. Rompant le baiser, il se contenta de serrer la jeune fille contre lui et s'employa à calmer ses nerfs. Et étrangement les flammes baissèrent également.

"Je suis désolé, le sang des sorciers semble être un peu top imprévisible." soupira-t-il désolé. "Mais je ne le laisserais pas nous séparer de nouveau. Je ne veux pas... répéter les mêmes erreurs."

Posant son menton sur la tête de Dana, il préféra demeurer silencieux avant de finir par dire une chose qu'il regretterait par la suite.

Aux paroles de Dana, la mine d’Areigan s’assombrit. A croire qu’elle lui avait annoncé la pire nouvelle qu’il soit. Il s’enfonça un peu plus dans son fauteuil. Il était inexpressif, comme s’il n’était qu’une poupée. Entendre et prononcer ces mots l’horripilait tant que ça ? Dana pensait surtout que ces mots sonnaient pour lui comme une condamnation, un enchaînement, la fin de sa liberté ! Elle le savait très indépendant et solitaire, sans vraiment d’attache. Être avec elle sincèrement, le contraignait sûrement à moins de folie, et surtout à un engagement ! La jeune fille se promit de faire attention à ce détail. Elle aussi était indépendante et tenait à sa liberté, mais elle l’était beaucoup moins que lui !

Lorsqu’elle s’installa sur lui, le vampire ne la repoussa pas, malgré qu’elle sente tous ses muscles se contracter sous elle. Il ne la repoussa pas non plus lorsqu’elle l’embrassa. En revanche, elle fut étonnée quand le vampire l’attira plus à lui, prolongeant ainsi leur étreinte. Un long frisson parcourut toute l’échine de Dana. Son cœur quant à lui, se mit à battre la chamade sous ce contact rapproché. L’ardeur de la vampire n’en fut qu’amplifiée. Elle promena sa main sur la cuisse de l’homme, non sans une certaine excitation. Mais un phénomène étrange attira l’attention de la jeune femme. Le feu présent dans les gouttières commençait à s’agiter dans une danse folle, comme si elles suivaient la courbe d’évolution de l’excitation de Dana. Mais cette dernière savait très bien que ce n’était pas son excitation à elle que les flammes suivaient, mais celle de l’homme. Ce n’était vraiment pas dur à deviner. Rompant leur baiser, avant d’enlacer Dana, Areigan confirma alors ce qu’elle pensait, contrit. Ce qu’il ajouta ensuite finit de surprendre la jeune femme. Il semblait autant avoir été affecté qu’elle de cette séparation. Elle ne l’aurait jamais cru à ce point ! Il avait tellement le don de tout camoufler ce qu’il pensait et ressentait, restant insondable, même pour elle, qui pourtant, passait pas mal de temps à l’ordinaire avec lui !

Elle ferma les yeux, sentant le menton de l’homme sur sa tête. Elle laissa sa tête appuyée contre le torse de l’homme, savourant ce moment qu’elle avait attendu ardemment. Elle se laissa ainsi quelques instants, passant ses bras autours de la taille de l’homme, pour avoir une meilleure prise sur lui.
Elle passa alors ses mains sous le T-shirt de l’homme, sentant la chaleur qui se dégageait de lui sous ses doigts. Elle rouvrit les yeux, et put s’apercevoir alors que le feu était redevenu à son état initial. Le vampire s’était donc calmé. Un petit sourire de mauvais augure se dessina alors sur le visage de Dana. Ses mains commencèrent à se faire caresse, et à glisser de manière aérienne sur la peau de l’homme. Son regard se fit carnassier. Elle enfouit alors sa tête dans le cou d’Areigan, savourant son odeur enivrante, déposant quelques fois ses lèvres sur sa peau chaude.

« Il n’y arrivera pas cette fois » lui murmura t’elle à l’oreille.

Son visage s’approcha à nouveau de celui de l’homme, pour l’embrasser langoureusement, mais avec une certaine prudence. Il était non sans deviner les intentions de la jeune femme, et celle-ci n’avait pas vraiment envie de reprendre un râteau !
Ses mains caressaient maintenant son torse, passant parfois sur le bas ventre, sans jamais aller plus bas. Tant qu’elle n’aurait pas eu de réaction affirmative de l’homme, elle ne le ferait pas.
En revanche elle se concentra quelques instants sur la porte d’entrée, et un clic léger put se faire entendre. Elle venait de verrouiller la porte. Ils n’étaient jamais à l’abri de petits indiscrets…
Son attention de tourna à nouveau sur l’homme, et les gestes qu’elle faisait. Elle attendait qu’ils lui fassent l’effet escompter, guettant la moindre réaction.
Ce moment là, elle l’attendait aussi. Sans doute avec autant d’appréhension que celui qui consistait à savoir ce que pensait l’homme ! Ce n’était plus comme avant ! Ce n’était plus un jeu, une action sans sentiments derrières ! La vampire en était à la fois impatiente tout comme elle voulait que le temps ne s’écoule plus qu’avec lenteur, pour repousser ce moment !
Mais maintenant, il fallait se lancer, elle verrait bien la réaction d’Areigan ! Et puis ce n’était pas comme si son corps lui criait de ne pas le faire…

Areigan eu un nouveau léger frisson lorsque Dana passa ses mains sur sa taille pour l'enlacer à son tour. En la sentant se laisser aller contre son torse de la sorte, il se dit qu'elle devait lui faire confiance - même si sur une échelle de 1 à 10 cette confiance était de 2, 3 ou bien 4 - il ne devait pas la gâcher. Il savait que la confiance était quelque chose de précieux. Et surtout celle de la jeune femme.
Sentant une main froide qu'il trouva bien curieuse sous son t-shirt, il inspira brusquement sous l'effet de la surprise. Puis l'aventurière se mis à parcourir son abdomen en de légères caresses, qui firent se contracter ses muscles instinctivement sous la forte différence de température complètement opposé des deux jeunes gens. La froideur mortelle de sa main ne manqua pas de lui donner de nouveaux frissons.

Dana se redressa quelque peu partant niché sa tête au creux de son cou en y déposant de temps à autre de doux baiser.

« Il n’y arrivera pas cette fois » lui murmura t’elle à l’oreille.

A cette phrase le vampire sut immédiatement ce qu'elle avait derrière la tête. D'ailleurs il n'avait pas eu besoin de l'entendre pour le savoir. Il commençait à la connaitre et il savait pertinemment ce que voulait dire ce genre de caresses. Le visage de la vampire se rapprocha alors du siens et, s'emparant une seconde fois de ses lèvres, elle l'embrassa langoureusement.
Sa main se fit plus aventureuse partant caresser son torse, se perdant quelque fois sur le bas ventre.
La jeune fille ne mentait pas ! Ne voulant sans doute pas que l'histoire se répète, elle semblait jouer la prudence. Elle qui avec son tempérament serait partit directement titiller le d agon, il eu l'impression qu'elle attendait comme son accord. Le garçon n’était pas contre aller plus loin, mais le faite de se faire prendre dans l'amphithéâtre ne l'enchantait outre mesure.
Mais comme pour répondre à sa pensé, il entendu un léger déclique très lointain. Bah pour ça c'était réglé.

Bien que ce soit Areigan qui est lancé les hostilités, il ne savait pas s'il était à même de les poursuivre.

Après avoir rompu le baiser et quelques seconde d'hésitation plus tard, il décida de faire fit des convenances et advienne que pourra !

Se redressant sur son séant, il glissa ses doigts dans la nuque de Dana et l'embrassa à son tour, mais de façon plus fougueuse et sauvage. Sa main remontant plus haut pour aller s'entortiller dans ses cheveux, tandis que l'autre passa dans son dos caressant son échine avec le pouce.
Le vampire n'avait pas totalement envie de prendre les devants. En effet il éprouvait un certain plaisir aux petits jeux pervers auxquels ils s'adonnaient autrefois et il ne dirait pas vraiment non si l'envi prenait Dana de vouloir y rejouer.

Lâchant ses lèvres, Areigan se glissa à son tour dans son cou la laissant sentir son souffle sur sa peau, il y déposa un baiser puis entrouvrant sa bouche, il l'effleura de ses crocs avant d'aller susurrer à son tour à son oreille :

"Tu veux jouer à un jeu ? Avec moi comme cette nuit dans le jardin ?"

Sauf qu’ici il y avait la pluie en moins, paradoxalement remplacé par son opposé. L'attirant plus vers lui, il glissa sa main beaucoup plus bas dans son dos et l'embrassa de nouveau dans le cou mêlant en même temps suçons et légères morsures.

Dans les gouttières, les flammes s'étaient remises à s'agiter et à s’élever dans une danse endiablée. Mais le garçon s'en moquait. A présent, il n'avait qu'une parole ! Il avait dit qu'il ne le laisserait plus les séparer et il allait tenir parole !
Maintenant il attendait de voir si le message était passé. Car pour le garçon la phrase était claire. Dans le jardin, ils n'avaient eu aucune retenu et n'avaient réclamé aucun accord.
En somme par ses mots, il lui donnait la clef sur un plateau d'argent. Clef sur lesquels aurait put être marqué "ne te retiens pas."

L'excitation de la jeune fille redoubla lorsqu'elle sentit sous ses doigts, l'homme frissonner. Le garçon ne sembla pas la repousser, ce qui dans un sens la soulagea. C'était un début encourageant!
Ayant sans doute compris le message de Dana, le jeune homme se redressa pour passer sa main sur la nuque de la vampire et l'embrasser plus ardemment encore qu'elle ne l'avait fait. Son autre main vint dans son dos, lui caressant tout le long de la colonne vertébral. Il n'en fallut pas plus à la jeune fille pour que son corps entier soit envahi de frissons. Le message fut également on ne peut plus clair. Il y avait des choses que les mots n'avaient pas besoin d'exprimer. Le corps de Dana s'enflamma de désir. Maintenant qu'elle avait le feu vert, l'excitation la gagnait entièrement, que ce soit physiquement parlant, ou bien mentalement!
Elle passait sa main dans les cheveux de l'homme, lorsqu'il vint à son tour se nicher au creux de son cou, y déposant ses lèvres, puis laissant courir ses crocs, auquel un nouveau frisson s'en suivit.
Puis il vint susurrer une phrase à l'oreille de la jeune femme, qui ne manqua pas de faire son effet:

« Tu veux jouer à un jeu? Avec moi comme cette nuit dans le jardin? »

A cette évocation, le regard de Dana s'embrasa, tandis que des souvenirs grivois, aussi savoureux les uns que les autres, lui revenaient en mémoire. Un grand sourire pervers vint s'afficher sur ses lèvres tandis qu'elle souffla à son oreille:

« Tu lis en moi comme dans un livre ouvert! Ce petit jeu sera bien mieux que celui dans le jardin! »

Elle le laissa alors parcourir son cou, inclinant légèrement la tête en arrière,
le lui dégageant, tandis qu'il s'étendait en suçons ou en petites morsures. Le message était bien passé chez elle. Elle ne comptait pas se retenir, mais plutôt s'abandonner aux bras de l'homme et au plaisir de la chair.
Mais pour le moment, elle semblait avoir totale carte blanche dans ses agissements. Aussi prit-elle les choses en mains.

Ses caresses s'accentuèrent tandis que ses lèvres reprenaient leur place sur le cou de l'homme. Elle laissa ses canines prendre place, les laissant
courir le long de sa jugulaire, jusqu'à arriver à son oreille, qu'elle mordilla légèrement, prenant garde de ne pas les percer de ses crocs.
Une de ses mains, plus aventureuse que l'autre sans doute, s'engouffra alors sous la couche de vêtement inférieur de l'homme, jusqu'à sentir un membre dur sous sa main. Un petit sourire satisfait couru sur ses lèvres
tandis qu'elle commençait à faire des petits gestes sur celui-ci afin de faire monter encore plus l'excitation de l'homme. De son autre main, elle fit descendre lentement la veste de l'homme, sur ses bras, pour l'en dévêtir.
Elle dû tout de même ressortir sa main osée, pour pouvoir ensuite retirer le T-shirt de l'homme, le redressant fermement, mais sans violence de son siège pour l'aider dans son entreprise. Le t-shirt fut envoyé valdinguer plus loin, sans que la jeune fille ni porte plus d'attention que cela. En revanche, au passage, elle put remarquer que le feu servant à l'éclairage de la salle, s'emballait de plus en plus. Pas besoin d'aller tâter du dragon pour savoir où en était le garçon point de vue excitation!

Elle passa à nouveau sa main sur le torse de l'homme, appréciant la douceur de sa peau, sans que le tissus ne la gêne dans ses mouvements. Ses crocs quand à eux, trouvèrent leur place dans le cou de l'homme, la jeune femme, s'abreuvant de quelques goûtes du sang de l'homme. Léchant les quelques gouttes de sang qu'il restait près de la morsure, elle descendit alors en baisé, le long du corps de l'homme, le redécouvrant avec un plaisir non dissimulé. Ça n'avait rien à voir avec la dernière fois... Avant ce n'était que bestiale, pour satisfaire des envies, maintenant c'était bien plus. La jeune fille profitait de chaque parcelle du corps de l'homme, les détails s'imprimant dans sa mémoire.

Elle en arriva alors au pantalon, étant descendu des genoux d'Areigan pour mieux poursuivre son geste. Elle leva alors un regard amusé vers ce dernier, qui devait surement se douter de ses manigances! Elle se redressa, se penchant vers l'homme pour à nouveau l'embrasser, sauvagement, passionnément. Ses mains quant à elle, s'attelait à la lourde tâche de détacher le pantalon de l'homme, puis lorsque se fut fait, ses lèvres quittèrent celles d'Areigan, pour qu'elle puisse se concentrer sur l'enlevage de pantalon. Lui aussi valdingua plus loin. Le jeune homme aurait surement du mal à retrouver tous ses vêtements éparpillés...
La vampire caressait à présent la protubérance de l'homme à travers le
tissus, le laissant se languir des caresses au contact direct. Elle resta un petit moment à faire cela, avant qu'elle ne se décide à enlever ce qui la gênait.

Quelle jolie vision elle avait là! Un bel homme nu devant elle, prêt à satisfaire ses petits désirs personnels! Rien que cette idée motiva à bloc la jeune femme. Elle caressa son vit, pour finalement s'en emparer d'une manière un peu plus osée... (si tu vois ce que je veux dire xD). Son regard sauvage, se campa dans celui du vampire, tandis que ses mains se promenaient furtivement sur son corps. Ses mouvements se firent tantôt plus lent et long, tantôt plus court et plus rapide, tandis que sa langue jouait le rôle de stimulateur...